Je ne veux pas la négresse dénudé.
Je ne veux pas le cercueil du mort.
Je veux la carte des nues
Et un bateau bien paresseux.
Ah recoins négligés…
Ah lampions de fin de ligne…
Qui me ventile des anciennes
Fenêtres en guillotine?
Que en passant et passant,
À la recherche d’autres climats…
En chaloupe toujours passant,
Chantant mes quintanares…
Au même temps omettant
Tout ce que tu remémores.
Traduction : Fernando Oliveira, d’après l’original ( Canção de Barco e de Olvido )de Mario Quintana
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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