Assistente editor: Hugo de Aguiar

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Petite chronique policière

Couché par terre sans vie
Elle était toute peinte!
Ni la mort lui octroya
Sa tragique beauté…
Ave une froide curiosité
Les gens arrivaient pour regarder son visage
Les coriaces marques de l’âge
Les fatigues, de la boisson…
Tristesse de femme perdue
Poignardé par un matelot!
Alors, sont venus des hommes en blanc
Qui l’ont emmené à la morgue.
Et lorsque l’ont ouverte
Son corps nu de mystère
Que jolie et allègre donzelle
Que courrant pénètre dans le ciel?
Et là est resté, comme elle était
Avant que le monde lui ai donné
Sa maudite fortune:
Sans rien savoir de la vie
Des vices et des dangers
Sans rien savoir de rien…
Avec ses grandes boucles
Ses rêves de jeune fille
Et ses désuètes chaussures!

Traduction: Fernando Oliveira, d’après l’original ( Pequena Crônica Policial ) de Mario Quintana

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