Spontané, laisse poindre le chagrin,
Librement jaillir ton chant,
Le songe, est l’arrière avant veille de l’aube,
Toujours un don pur, une pure offerte.
Laisse l’enfance te parvenir
Concrète, frétillante et prometteuse…
Le temps n’arrête pas l’idée de l’eau
D’ou vient l’immense fil de la vie.
Laisse que la voix libère les cordages,
Esquisse un simple chant, dépouillé,
Que plagie le son pur de l’amoureux,
Et soit, comme le vent, démesuré.
Sans freins ou barrières, laisse la vie pulser,
Comme les premiers pas d’un enfant.
Laisse-toi guider par la vie
Comme le fait le vent, avec la plume…
Assis, 27 de junho de 2007
Antônio Lázaro de Almeida Prado
Traduction:Fernando Oliveira. D’après l’original (DEIXA FLUIR TEU CANTO...) de Antônio Lázaro de Almeida Prado
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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